Les syndicats marxistes complices des islamistes

Publié le par Guy PROUIN

De nombreux quartiers en France réagissent en présence des forces publiques comme des territoires occupés par une nation étrangère ! Face à ce constat, on ne perçoit aucune stratégie crédible visant à rétablir un consensus républicain. La récolte des voix de la classe politique composée de beaux parleurs et de carriéristes est probablement la motivation à cette inaction qui se traduit par une permissivité destructrice. L’origine profonde à ce mal est à chercher dans le fonctionnement pervers de notre démocratie dont les règles tendent à sélectionner l’éloquence au mépris de la compétence. Il est clair que si les entreprises étaient dirigées de cette façon, par des personnages éloquents et incompétents, elles seraient toutes poussées vers la faillite. La voix populaire doit pouvoir s’exprimer et se traduire dans les faits par l’action de politiciens compétents. Pour cela, il faut changer les règles de notre démocratie afin de barrer la route aux beaux parleurs ambitieux et carriéristes qui utilisent le pays comme leur terrain de jeux. Probablement, en interdisant aux partis politiques, au fonctionnement mafieux, d’accéder au pouvoir exécutif. Et pour plus d’efficacité, il serait indispensable de réduire le contre-pouvoir syndical qui s’exerce en piétinant la démocratie. Les syndicats, en effet, n’ont aucune légitimité à prendre la place des élus pour s’opposer à une décision politique. Leur comportement insurrectionnel paralyse le pays, développe une défiance envers notre démocratie devenue stérile par leur faute. De plus, elle alimente un populisme fondé sur un pouvoir fort. Les syndicats marxistes révolutionnaires minent notre démocratie. Aujourd’hui, en tant qu’ennemis intérieurs, ils se rendent complices, de fait, des islamistes pour détruire notre nation et avec elle, l’Europe.

Publié dans Politique et sociale

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